Les joueurs de l'équipe nationale belge de football
Christian Benteke, ce diable rouge
Après avoir connu la Jupiler League au Standard puis à Genk, ce buteur-né traverse la manche et devient l’un des meilleurs strikers de Premier League, du côté d’Aston Villa. Chez les diables, c’est à l’aube de l’ère Wilmots qu’il se révèle comme le buteur qui manquait tant à l’équipe.
Quoi de neuf sur ce Diable de Christian Benteke
-
Sélection pour les matches contre Chypre et Israël : Première pour Batshuayi
La sélection de Marc Wilmots pour les matchs face à Chypre et Israël ne réserve pas de réelle surprise. Malgré les récentes critiques, le coach national appuie son crédo : limiter les rotations pour privilégier la cohésion. Cette philosophie explique la sélection de cadres qui ne sont pourtant pas dans la forme de leur vie, […]
Lire la suite de: Sélection pour les matches contre Chypre et Israël : Première pour Batshuayi -
Des Diables Rouges prolifiques avant les prochains matchs face à Chypre et Israël!
Parmi les diables, certains attaquants ont passé l’hiver dans le doute. Mais à quelques jours du match contre Chypre, comptant pour les qualifications pour l’Euro 2016 en France, ils retrouvent leurs sensations et reviennent au premier plan.
Les deux exemples les plus flagrants sont Romelu Lukaku et Divock Origi, mais d’autres ne sont pas en reste:
- Romelu Lukaku auteur de 7 buts en 4 rencontres d’Europa League. Après une longue période de disette, le grand Romelu retrouve enfin son sens du but.
- Divock Origi auteur d’un triplé avec le LOSC contre Rennes lors de la dernière rencontre de Ligue 1.
- Christian Benteke a marqué 3 buts lors des 2 derniers matchs de championnat.
N’oublions pas Kevin de Bruyne, qui a (encore) planté deux buts à l’inter en Europa League et un autre à Fribourg lors de la dernière rencontre de Bundesliga. Eden Hazard aussi continue sur sa lancée; il a inscrit un penalty face au PSG en Champions league, et marqué face à West Ham lors de l’avant dernière journée de Premier League.
Avec une telle armada, nous avons beaucoup de chances de trouer les filets des gardiens de Chypres et d’Israël !
-
Christian Benteke est de retour!
Il est de retour ! Après tous ces mois d’absence, et 355 minutes sur le terrain, Christian Benteke a retrouvé le plaisir du but. C’était ce weekend face à Crystal Palace : au terme d’une action en solitaire, notre Diable a inscrit l’unique but du match, offrant ainsi les 3 points aux Villans. De quoi le remettre sur de bons rails pour le reste de la saison !
Son dernier but datait du 23 mars 2014, soit juste avant sa terrible blessure au tendon d’Achille, qui l’aura écarté des terrains durant six longs mois, et privé de la Coupe du Monde au Brésil. Indirectement, c’est grâce à lui que nous avons pu faire la connaissance de Divock Origi…
-
Benteke, Lukaku et Origi ensemble sur le terrain
Ce mercredi 13 novembre 2014, lors de la victoire 3 – 1 en match amical contre l’Islande, Marc Wilmots a une nouvelle fois surpris tout le monde en procédant à des remplacements inattendus.
En effet, aux 46e et 49e minutes, notre coach a sorti deux milieux de terrain pour faire rentrer Divock Origi et Romelu Lukaku. Christian Benteke, déjà sur le terrain, s’est alors positionné en soutien juste derrière Lukaku. Divock Origi, quant à lui, s’est placé sur le flanc droit. D’oeil d’observateur, nous n’aurions jamais pensé que le coach tenterait un tel système.
Sans être transcendant (à cause, probablement, du manque d’automatismes dans cette configuration), ce nouveau système a permis à Romelu et Christian d’être moins esseulés, de pouvoir combiner ensemble et ainsi toucher plus de ballons.
-
Benteke out … Who’s in ?
© Fifa.com (retouche photo Antonin Kaminski)
La nouvelle est tombée comme un couperet en ce début de semaine. Sorti sur blessure lors du dernier match de son équipe en Premier League, Christian Benteke manquera vraisemblablement la double confrontation, décisive, en Croatie et face au Pays de Galles. Une tuile, mais de quelle ampleur ?
On peut parler d’une perte sérieuse, vu la place prise par le Villan au sein du onze de Wilmots depuis un an. Le coach national souhaite travailler de compère avec ses homologues de Birmingham, pour retaper le striker des diables dans les 15 jours. C’est peut-être cela le plus inquiétant, car les solutions de remplacement semblent pourtant exister.
Remplaçant N°1 : Romelu Lukaku.
Prêté à Everton dans les dernières minutes du mercato alors qu’il semblait pouvoir revendiquer un temps de jeu raisonnable dans la Capitale, le fils à Roger a déjà fait parler la poudre du côté des toffees. Habitué des sélections depuis plusieurs années, régulièrement placé en balance avec Benteke pour le poste d’attaquant, il semble être en mesure de le remplacer au pied levé.
Remplaçant N°2 : Kevin Mirallas
On l’oublie, mais le Liégeois d’origine peut aussi jouer en pointe. Il sait pivoter, et marque régulièrement. Son but en Ecosse lui a donné confiance. La suite logique pourrait être une titularisation à Zagreb.
Remplaçant N°3 : Jelle Vossen
Le Genkois ne manque pas de talent, mais il est davantage un renard des surfaces qu’un véritable pivot. Le dispositif actuel des Diables nécessite que l’attaquant de pointe effectue un gros travail dans l’ombre, créé des espaces, impose sa présence. Vossen ne semble pas être la solution, pas par manque de talent, mais par incompatibilité avec le rôle. Et on imagine mal Wilmots remanier son dispositif pour un seul homme.
Remplaçant N°4 : Michy Batchuayi
Certes, le standardman est en grande forme, et cette solution ne déplairait pas à beaucoup de supporters rouches. Seul hic : le timing. N’ayant jamais joué avec les A, Michy ne peut disposer des automatismes nécessaires. Et puis, en tout honnêteté, la Croatie, ce n’est pas la Jupiler League.
En conclusion, dans le rôle du grand Christian, nous imaginons davantage Lukaku (choix le plus logique), ou Mirallas (choix qui pourrait surprendre l’adversaire). En tous les cas, pas un Christian à 50%.
-
Belgique – Ecosse: La confirmation et 3 points de plus
© Belga (retouche photo Antonin Kaminski)
Deux buts de Christian Benteke et Vincent Kompany nous rapportent une nouvelle victoire méritée. Au classement, nous totalisons un plus que satisfaisant 10 points sur 12, après avoir rencontré 4 de nos 5 adversaires. La joute face à la Macedoine fera l’objet d’une double confrontation en mars 2013. Mais revenons sur ce match face à l’Ecosse…
Au coup d’envoi, Marc Wilmots nous réserve quelques surprises… Tout le monde s’attend au retour de Guillaume Gillet au poste de back droit, mais c’est Toby Alderweireld, auteur d’une bonne prestation en Serbie, qui reste en place. Certes moins tranchant offensivement que Guillaume Gillet, il semble beaucoup plus à l’aise lors de ses interventions défensives.
L’autre surprise du chef contrarie sans doute pas mal de supporters et d’observateurs; Eden Hazard ne figure pas dans le 11 de base. Tout profit pour Dries Mertens, qui entame le match. Les observateurs internationaux peuvent toujours s’interroger sur ce choix, mais ils enchainent tous deux des prestations de haut niveau dans leur club respectif.
A l’instar de la Serbie vendredi, les Diables Rouges entrent directement dans la rencontre, pressant à haut niveau et se montrant très offensifs. Ils dominent, mais contrairement au match précédent, le réalisme leur fait défaut. Heureusement, les Ecossais se montrent rarement dangereux ; leurs relances sont hasardeuses et ils ratent beaucoup de passes. Ils se créent toutefois une occasion trois étoiles, sur un magnifique coup-franc qui aurait pris la direction de la lucarne, si Thibaut Courtois n’était pas passé par là. Le portier belge réalise un arrêt de classe mondiale, et nous évite une situation très inconfortable.
Au retour du vestiaire, Eden Hazard remplace Moussa Dembele, blessé à la hanche. Les supporters attendent toujours « le » déclic de la pépite de Chelsea, sous la vareuse belge. Mais à l’heure de jeu, la situation n’est toujours pas débloquée. Jouant à présent le match nul, l’Ecosse se replie en défense.
Le verrou saute (enfin) à la 69 ème minute, lorsque Kevin de Bruyne adresse un centre millimétré (comme à son habitude, aurait-on envie de dire) sur la tête de Christian Benteke, qui s’impose pour propulser le cuir au fond des filets. Ca y est, la Belgique est libérée !! Elle tue le match deux minutes plus tard lorsque, servi par Hazard, Vincent Kompany double la mise. Avec cet enchaînement retournement – contre-pied – patate en pleine lucarne, le capitaine nous dévoile des talents que beaucoup d’attaquants pourraient lui envier ! A 2-0, le break est fait, et les diables peuvent enchainer les 20 dernières minutes avec beaucoup plus de sérénité.
Les satisfactions du Match:
• Ilombe Mboyo: Il entre symboliquement à la 85 ème minute et joue ses premières minutes de jeu avec l’équipe nationale. Même si il n’a pas touché beaucoup de ballons, il aura pu doucement prendre ses marques à ce niveau. Quand on voit la qualité du groupe belge, monter sur le terrain est déjà un grand pas en avant!
• Vincent Kompany: comme d’habitude irréprochable en défense. Sa prestation est ponctuée par un magnifique goal.
• Axel Witsel: Placé comme récupérateur pour les deux dernières rencontres, il est parvenu à faire oublier un certain Marouane Fellaini, ce qui n’est pas rien. Il montre qu’il en veut, en se battant sur tous les ballons. Doté d’un volume de jeu incroyable, il apporte un réel soutien, offensif comme défensif.
• Les boulettes défensives, c’est fini!? Ces deux derniers matchs, l’équipe a affiché une rigueur défensive exemplaire, montrant ainsi un énorme progrès. Doucement, la défense belge gomme ses erreurs, pour ne plus en commettre ?
• Christian Benteke: Dans ce secteur où la concurrence est moins rude, il tire son épingle du jeu. Deux buts lors des deux derniers matchs, cette statistique est encourageante. La Belgique aurait-elle trouvé son striker?
-
Serbie – Belgique : 0-3 … « What else » ?
© Belga (retouche photo Antonin Kaminski)
Il faut remonter à 1997 pour trouver une victoire belge chez un concurrent direct (l’Autriche de 2011 ayant alors plus un statut d’outsider potentiel). Durant ces 15 années, les diables nous ont davantage déçu que fait vibrer. Depuis hier, la certitude s’installe : cette équipe-là peut aller très loin. Même au-delà de Rio.
Cette plantureuse victoire à Belgrade fera encore couler beaucoup d’encre, dans les mois et années à venir. Les motifs de satisfaction sont nombreux.
En premier lieu, de l’autre côté du terrain, ce n’était pas Andorre, Saint-Marin, ou les îles Féroé (avec tout le respect, bla bla bla). C’était une équipe solide et efficace que nous avons terrassé dans son propre stade, et qui fut uniquement coupable d’un relâchement en fin de rencontre. Les Serbes ont immédiatement mis la pression, faisant parler leur vitesse et perforant notre défense à quelques occasions. Frappant même le poteau de Thibaut Courtois dès la deuxième minute. On se disait alors qu’il serait difficile de garder le 0-0. Mais après avoir subi durant une vingtaine de minutes, la Belgique a mis le nez à la fenêtre, timidement d’abord, avant d’un coup d’un seul, d’assommer la Serbie sur un contre remarquablement mené. De moins en moins dangereux au fil des minutes, nos adversaires ont échoué à remonter au score, pêchant par frustration. Reconnaissons qu’ils auraient pu mener au score à la mi-temps. La chance fut de notre côté, et on a envie de dire : enfin ! Pour une fois, ce sont les diables qui la donnent, la leçon de réussite.
Deuxièmement, on a senti le cœur de cette équipe, un seul cœur battant pour faire courir onze paires de jambes. Par le passé, les phases offensives belges pouvaient sembler brouillonnes, improvisées. Hier, les trois buts en noir-jaune-rouge ont résulté de phases remarquablement préparées. On pense au centre millimétré de Kevin de Bruyne qui donne l’ouverture du score à Christian Benteke, on pense aussi à cette magnifique remontée de terrain en une touche de balle, qui offre le 0-3 à Mirallas. Du caviar, qu’on croyait inaccessible, et réservé à une élite footballistique. Sur cette dernière action, l’attaquant d’Everton se trouvait peut-être en position de hors-jeu … mais pour une fois que les aléas du football tournent en notre faveur, va-t-on s’en plaindre ? Et quoi qu’il en soit, le match était déjà plié.
Troisièmement, en matière d’individualités, nous disposons d’un talent rarement observé dans l’histoire de notre football. Pour preuve, l’absence d’un titulaire indiscutable comme Marouane Fellaini ne s’est pas faite remarquée. Ce qui risque de donner à notre sélectionneur matière à se creuser la tête; lui qui pensait avoir son 11 de base bien défini… comment remettre Kevin de Bruyne sur le banc, après le match qu’il nous a fait hier ? Ce garçon est une pépite, possède un sens du jeu des plus affûtés, et a de l’or dans les pieds. Impliqué sur les deux premiers buts belges, il marque et fait marquer. En voilà un qui risque fort de percer du côté de Stamford Bridge avant Romelu Lukaku. Ce pauvre Romelu qui, à présent, voit sa place de titulaire en pointe menacée par Christian Benteke, auteur d’une partie plus que satisfaisante. Quelque peu décevant face aux Croates le mois dernier, le nouveau sociétaire d’Aston Villa fut décisif, apportant à notre attaque le poids qui lui avait fait défaut ces derniers temps. Et au passage, nous voilà rassurés : il n’y a pas que nos défenseurs qui marquent.
Parlons aussi des autres. Vincent Kompany et Axel Witsel ont à nouveau sorti une prestation quatre étoiles. Eden Hazard a réussi à se débrouiller, et a raté une immanquable occasion de but parce que le gardien serbe a fait l’arrêt du match. Son joker de luxe, Dries Mertens, semble être un de ces remplaçants indispensables, pour continuer à se créer des occasions en fin de match. Derrière, Thibaut Courtois est toujours là lorsqu’on se met à trembler ; on peut compter sur lui pour fermer les brèches. Seul Jan Vertonghen nous a paru un peu fébrile, distancé plus qu’à son tour. Heureusement, ce fut sans conséquence. Car oui, autre motif de satisfaction : la défense a tenu bon et n’a commis aucune bourde !
Nous pouvons être confiants, plus qu’à n’importe quel instant de ces 15 dernières années. Mais évitons de tirer des plans sur la comète. Parce que la Croatie n’est pas distancée. Parce que mathématiquement, toutes les équipes du groupe peuvent encore se qualifier. Même l’Ecosse, que nous affrontons ce mardi. Mais ces mêmes mathématiques font des Diables les grands favoris de cette rencontre. En effet : nous venons de battre la Serbie 0-3. Cette même Serbie qui a écrasé le Pays de Galles 6-1. Ce même Pays de Galles qui, hier, est venu à bout de l’Ecosse par 2 buts à 1. Alors franchement, si respecter son adversaire est une chose, en avoir peur en est une autre. A moins d’un excès de confiance, ou d’une immaturité retrouvée, on ne voit pas comment ces diables-là peuvent perdre ce prochain match.
-
Belgique 4 – Pays-Bas 2, le match référence?
© Le Soir (retouche photo Antonin Kaminski)
Tout le monde pourra se réjouir de cette victoire 4 – 2 contre les Pays-Bas, une rencontre pleine avec comme l’indique le marquoir 6 buts qui auront ravi le spectateur neutre et le fan inconditionnel des Diables Rouges.
Ce match fut le match des premières:
• Premier but pour Dries Mertens
• Premier but pour Christian Benteke
• Première victoire pour Marc Wilmots comme T1 des diables rouges
• Première victoire contre un cador pour cette nouvelle générationUn match qui aura débuté par 30 excellentes minutes des belges, comme ils nous ont habitués. On se souvient du bon début de match face à l’Allemagne. Cette bonne entamme de match couronnée par le but de Christian Benteke à la 20ième minute, sera suivie de 15 minutes beaucoup plus délicates pour nos diables qui ont commencé à reculer et à subir le jeu des Oranje. Malgré quelques erreurs défensives les belges ont pu toute fois garder le 0 derrière en rentrant dans les vestiaires.
Le repos n’a guère profité aux Diables Rouges. Le début de la seconde période montre les mêmes lacunes que la fin de première mi-temps, mais cette fois-ci avec des erreurs qui se payent cash: deux but en 1 minute 40 pour les pays-bas à la 54 et 55 ième, grâce notamment à un excellent Arjen Robben.
A cet instant, la Belgique se dit que la suite du match va se dérouler dans la douleur tant les deux goals des Pays-Bas ont été déconcertants de facilité. Mais à partir de l’heure de jeu nous avons pu doucement redresser la barre et ceci sans doute grâce aux remplacements qui ont apporté du sang frais dans une équipe qui avait l’air de manquer un peu de « jus ».
Après plusieurs essais, c’est Dries Mertens qui nous offre l’égalisation à la 75ième, puis ensuite il servira magnifiquement Romelu Lukaku pour le 3 – 2 à la 77ième. Comme les Oranje vingt minutes plus tôt, nous renversons la vapeur en l’espace de 2 minutes. Les diables rouges semblent survolté et c’est à nouveau Dries Mertens qui offre la balle de but à Jan Vertonghen à la 80ième pour faire 4-2 score final de ce match.Malgré une défense encore hésitante à certains moments nous retiendrons cette victoire, et le très bon comportement des diables dans les phases offensives.
Les erreurs défensives ont donc étés gommées par le résultat! Après tout la règle au football n’est-elle pas de marquer plus de goal que l’équipe adverse?• les satisfactions du match:
– Kevin Mirallas: il donne l’assist du goal de benteke et a réussi quelques bonnes incursions dans la defense
– Dries Mertens: 1 goal 2 assists il a remis la belgique sur les bons rails
– Steven Defour: il revient à son niveau du Standard, il est beaucoup plus actif que Simons dans le même rôle
– Romelu Lukaku, a fait preuve d’une bonne présence offensive, il montre que malgré sa saison passée difficile il a envie de bien faire, espérons que son transfert à West Bromich lui réussisse
– On a pu apprécier la profondeur de notre effectif et la qualité de notre banc car tous les remplaçants ont vraiment été à la hauteur• ils peuvent mieux faire:
– Eden Hazard, il a toujours une grande pression sur les épaules et on attend toujours de lui qu’il enflamme de temps en temps la rencontre, ce n’est pas arrivé cette fois ci.
– Nacer Chadli a fait preuve d’une bonne animation offensive, mais à manqué de flair dans le dernier geste• Il doit faire mieux:
– Guillaume Gillet à été fort malmené sur son flanc face à Robben, il manque sans doute de certains réflexes défensifs dû au fait qu’il ne joue pas à cette place en club.On aurait aussi voulu voir ce que Poco aurait pu montrer à la place d’un vertonghen qui n’était pas à son poste
Date de naissance
Le 03/12/1990 à Kinshasa (RD Congo)
Poste(s) de prédilection
Pivot
Spécialité(s)
Conserve le ballon
Taille et poids
1,91 m pour 86 kg
Première sélection
19/05/2010 contre la Bulgarie (victoire 2-1)